vendredi 15 novembre 2024 à 19h
Festival de films Alimenterre : projection de 2 moyens métrages
Alternatiba 72 - Le Mans vous ouvre les portes de la Maison des citoyenNEs !
Dans le cadre du festival de films Alimenterre et du Festival des Solidarités - FestiSol en Sarthe, Alternatiba 72 - Le Mans et Bio&paysan72 vous invitent à une soirée dédiée aux thématiques de l'agriculture, de l'alimentation et de la solidarité internationale.
Entrée gratuite
19h: Ouverture des portes.
Petite restauration sur place - Tapas bios et paysans /// table de presse
19h30: projection du film L'or bleu - l'or vert: les larmes d'une vallée, 30 minutes, d'Anaïs Mariotti, suivie d'une discussion
20h30: [à confirmer] projection du film Les maux de notre alimentation, 37 minutes, de Clément Léger Maud, Koenig O'Carroll et Christophe Guérin, suivie d'une discussion
Contact: biop aysan72@ gmail.co m
Synopsis du film L'or bleu - l'or vert: les larmes d'une vallée
Dans la vallée de Petorca, au Chili, l'avocat domine un paysage devenu aride, remplaçant les cultures traditionnelles par une monoculture intensive. Cette pratique agricole, très exigeante en eau, entraîne de sévères pénuries chez les rurales.aux. En plus de voir leurs terres asséchées, iels vivent parfois au rythme des camions-citernes, avec un approvisionnement en eau minimal. Ce documentaire donne la parole aux paysan.ne.s, premières victimes de ces politiques ultra-libérales, qui voient leur mode de vie complètement bouleversé. Il nous plonge au cœur de cette vallée, qui témoigne des nombreux conflits environnementaux chiliens, dans l'un des rares pays au monde où l'eau est privatisée.
Synopsis du film Les maux de notre alimentation
Les multinationales sont responsables de nombreuses atteintes aux droits humains et à l'environnement, le plus souvent en toute impunité. Crayons à la main, Blanche Sabbah (autrice de bande dessinée , activiste féministe) et Hippocampe Fou (rappeur) témoignent des conditions de travail en Équateur, et racontent les histoires de celleux qui luttent pour leurs droits.
Source : message reçu le 31 août 12h